Face de camion

La TAC (Transport Accident Commission) et son agence Jay Grey Melbourne ont fait de l’effet de surprise leur cheval de bataille dans la lutte contre les accidents de voiture. Leur première opération avait pour objectif d’inciter les australiens à lever le pied, l’association s’attaque désormais au sommeil. L’idée est de projeter le conducteur dans une situation à risque, pour ce faire, l’agence a disposé un sticker simulant l’avant d’un camion sur l’arrière de 30 poids lourds de la région de Victoria.

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Compagnie artistique

La compagnie aérienne low cost Norwegian.com semble désireuse de sortir de son carcans de pure player en concrétisant sa marque dans la rue. Après une première opération d’affichage alternatif plutôt surprenante, voici que la compagnie reprend le travail d’un street artiste. De son nom de scène Slinkachu, il s’illustre par des installations artistiques miniature.
La marque s’est donc clairement approprié son travail en jouant sur l’apparence que peuvent avoir des vacances vues depuis le ciel. Une très belle idée qui prouve encore une fois l’accroche entre publicité et street art.

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Nissan Leaf enfume la concurrence

Nissan et son agence TBWA/Chiat/Day ont mis en place un billboard aussi spectaculaire que stratégique lors du New York International Auto Show. Disposé juste en face de l’entrée principale, cette affichage démesuré raille la concurrence en expliquant que durant le salon, il y aura plus de 1000 véhicule équipés d’un pot d’échappement, et que seule la Nissan Leaf est 100% électrique.
Pour renforcer l’effet de ce billboard, de la fumée s’échappe du pot créant de fait un sentiment de pollution. Une idée qui n’est pas sans rappeler celle réalisée en Irlande pour la Honda Civic, bien que le message diverge complètement.

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Chick-fil-A s’affiche

La marque de fast food américaine Chick-fil-A utilise depuis son lancement en 1995 des égéries pour le moins surprenantes : des vaches. Rien de très inhabituel pour une chaîne de restauration que d’utiliser son ingrédient phare en tant qu’égérie. Mais tout se complique quand on sait que Chick-fil-A ne sert que des hamburgers à base de poulet. Alors d’où provient cette étrangeté ? L’idée est tout simplement de se jouer de la convention – les hamburgers sont généralement à base de viande de boeuf – et de donner la parole à des vaches qui refusent d’être consommées. Ces vaches rivalisent donc de zèle pour inciter le consommateur à passer au poulet, elles se proposent d’offrir de l’eau pour soulager la chaleur d’un sandwich « spicy chicken » ou encore expliquent aux conducteurs que manger de la viande de boeuf fait dormir.
Une excellente rhétorique de communication parfaitement transposée en affichage alternatif.

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