Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home
Résultats de votre recherche : décembre 2009
Une nouvelle pierre s’ajoute à l’édifice qu’est celui de la communication alternative menée par Mini Cooper. Tel le petit poucet, la marque éparpille ça et là des opérations aussi géniales les unes que les autres.
La dernière en date nous vient d’Amsterdam où le constructeur propose d’acquérir une Mini pour seulement 99 euro par mois. La voiture peut ainsi aisément se transformer en cadeau et qui dit cadeau de Noël dit forcément paquet.
Les marques ont logiquement envie de communiquer de façon impactante. Afin de renforcer l’impact d’une opération il est possible de se jouer du support, en transformant par exemple une campagne d’affichage traditionnel en une campagne alternative. C’est sur ce type d’installation que l’ont peut découvrir énormément de créativité, parfois même quelques plagias.
Voici trois campagnes, une pour de la lingerie féminine, une pour de la lingerie masculine et une dernière pour une ONG. Toutes trois utilisent un procédé similaire afin d’attirer l’oeil du chaland : la vitre brisée.
Dans le cas de Wonderbra comme dans celui de Unno il s’agit simplement d’un procédé créatif servant à simuler un « relief » alors que dans le cas de WildAid l’impact est matérialisé par une pièce de monnaie afin de sensibiliser les récepteurs aux méfaits de l’achat illégal d’ivoire ou de fourrures.
Alors, plagia ou simple coïncidence ?
source : PaperPlane + Obeca + AOTW
Encore une démonstration par la preuve imaginée par l’agence canadienne Taxi afin de mettre en avant la promesse d’un médicament de la marque Motrin.
La promesse est assez banale puisqu’il s’agit d’un médicament permettant de lutter contre les douleurs – Target your pain where it hurts – mais la mise en scène créant un pont entre le mal de dos et les multiples achats de Noël permet une nouvelle lecture du message. Le traitement par l’absurde permet également à l’opération de gagner en impact et en visibilité.
Eastpak, avec l’aide de V8 Films, utilise le beamvertising afin de fêter un heureux Noël à ses consommateurs. Un véhicule a ainsi projeté un père Noël skater se déplaçant muni de sa hotte aux couleurs de la marque dans les rues de plusieurs villes européennes.
Une opération on ne peut plus banale pour une marque qui se revendique décalée et subversive, peut être est-ce un clin d’oeil à cette opération, de 3 ans son aînée, réalisée pour Sportlife ? ou tout simplement une pâle copie. Quoi qu’il en soit l’effet « neige » devrait être bannît de tous les logiciels de retouche vidéo et l’intégration de logos pixelisés punit par la loi.
Pour conclure sur une touche positive, il devait quand même être drôle de croiser ce St Nicolas du 21ème siècle.
Source : LaRevueDuMarketing + NonConvenzionale + V8 Films
La fosse des Mariannes se situe dans la zone de subduction entre les plaques tectoniques Pacifique et Marianne. Pour faire simple la plaque tectonique du Pacifique glisse sous celle des Mariannes à plus de 11km de profondeur, ce qui fait de cette fosse le point le plus bas de la Terre.
C’est ce « point de contact » qu’a sélectionné Alfa Romeo Belgique afin de communiquer sur le nouveau prix abyssal de son modèle 147. En partenariat avec Adshel, la marque automobile italienne a imaginé un PR stunt inédit (?) consistant à plonger un panneau d’affichage au plus profond de l’Océan Pacifique. Cette communication par la preuve repose bien entendu sur un claim évocateur – We can’t go any lower.
source : un tweet de Kavura + LaRevueDuMarketing
