Street art recyclé

La ville de Lisbonne possède une des plus grandes « collection » de street art au monde, mais ses habitants n’ont pas conscience de ce trésor et ne portent que très peu d’attention à cet art. Pour améliorer sa perception, l’agence Torke a eu l’idée de réaliser un concours de création parmi les street artistes avec pour incentive la possibilité d’habiller légalement des supports urbains. Ainsi, pas moins de 400 conteneurs de recyclage et 10 camions poubelles qui ont été décorés. Une très belle opération qui met en avant cet art, et modernise l’image de la municipalité.

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Nu comme un vert

Pour assurer la promotion du livre Dormir Nu Est Écologique, la maison d’édition Editorial Presenca propose un kit de presse composé d’un oreiller et d’un masque brandé.
Mais la promotion va jusque dans les rues de Lisbonne où des ambassadrices distribuent des masques floqués. Ambassadrices elle même munies de combinaisons simulant la nudité.

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mots ou maux ?

TBWA Lisbonne met des images sur les maux.
Un double objectif pour cette campagne d’Amnesty International : sensibiliser aux violences conjugales et inciter à la délation (au sens positif, s’il en est, du terme).
Le concept est simple : des onomatopées d’appels à l’aide et de cris s’échappent de bâtiments, si le chaland tire sur le papier, il est face au message de la campagne.

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Du rhum pirate Lisbonne

Pampero transforme Lisbonne en musée.
A la façon du Chiado, cette opération utilise le concept du guide audio. Au bas de chaque oeuvre d’art urbain, un panneau indique le numéro du podcast à écouter.
Toutes les informations sont directement accessibles sur le site internet dédié.
Excellente opération pour excellent rhum !

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