Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

L’artiste Jon Hicks s’exécute au service de Kellog’s pour booster les ventes de céréales en période hivernale.
Ici, le plus produit est parfaitement mis en scène grâce aux feuilles mortes.
Plus de que l’ambient marketing, on se rapproche du marketing sensoriel, sonore en l’occurrence.

Tibits, chaîne suisse de restaurants végétariens, communique auprès de sa cible en leur prouvant la fraîcheur de ses plats.
Après tout, quoi de mieux qu’une fourchette plantée dans une arbre vivant pour prouver la véracité de ses propos ?

Lamisil est un médicament utilisé dans le traitement de certaines mycoses cutanées. Cette marque est malheureusement célèbre en France depuis son spot TV présentant crûment une mycose de l’ongle de pied.
Elle réapparaît de façon beaucoup plus graphique et bien moins ragoûtante avec trois visuels mettant en scène des chaussures infectées par des microbes presque attachants.

Pour compléter cette campagne, une présence dans le rayon chaussure de certains magasins de sport. Parfaite déclinaison de la campagne print, cette action d’ambient présente des maquettes de chaussures infectées dans des caissons sous quarantaine.

En Amérique du Sud, le MilkyWay n’est pas synonyme de coeur fondant au lait, mais bel et bien de nappage caramel extra-fondant (et filandreux).
Très belle opération d’ambient, parfaitement adapté à chacun des supports.

Pour sa programmation de Batman Returns, une chaîne allemande n’hésite pas à mettre en scène le héros.
Accroché à la fenêtre des bus de la ville de Hambourg, le personnage de DC Comics apparaît et disparaît au grès du vent.