Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Voici un article récapitulatif de toutes les actions de marketing alternatif menées par les différentes agences de communication de Mini Cooper.
Cet article est exhaustif, et il n’explique en rien l’aspect stratégique de chacune des campagnes. Certaines sont créatives et efficaces, d’autres le sont beaucoup moins.
Il est intéressant de relever la multiplicité des cibles de la marque et les différents axes de communication utilisés pour les toucher (petite taille, fun, jouet, performance…).
Faites-vous votre vis, et si une campagne m’a échappé, empressez-vous de me le dire.

Billboard :

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Un point de contact très intéressant trouvé par Fiat pour communiquer sur son modèle Stilo équipé de capteurs d’aide au parking.
Il suffit de traiter l’information par la conséquence et ainsi de présenter l’atout de la voiture sur des piliers abîmés.
Je ne suis pas convaincu par la visibilité de cette campagne, mais en tout cas chaque contact est réellement qualifié.

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Après District 9 et True Blood, encore une série qui exporte son univers dans la vie réelle.
Lost avait déjà plongé les internautes dans l’univers de la série pour le lancement de la saison 3 avec son site find815, où il était possible de vivre l’arrivée du bateau de sauvetage avant même son apparition dans le scénario.
Ici, c’est Oceanic Airlines, la compagnie aérienne de l’avion qui se crash sur l’île, qui est mise en avant.
Il est ainsi possible de réserver un avion sur son site internet, et pour plus de crédibilité et donc d’immersion pour les fans, la compagnie communique en billboard.

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Une expérience marquante menée par 13ème Rue visant les visiteurs d’un nightclub d’Hambourg.
Une fois rentré dans les toilettes, les lumières s’éteignent pour faire place à des lumières noires et ainsi dévoiler une scène de crime macabre.
Excellente idée, très bien mise en scène, par contre je ne suis pas certain de la crédibilité du point de contact ni de la rentabilité de l’opération (investissement conséquent pour une cible très réduite).

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Une opération très heureuse réalisée par Ben&Jerry’s dans les rues de San Francisco.
L’idée est simple mais très efficace : Ben&Jerry’s ramène le bonheur.
La solution trouvée est de jouer sur la nostalgie des passants en recréant un jeu associé à leur enfance.
Dans le cas de la marelle, c’est bien entendu la marque qui est le ciel et donc l’aboutissement du jeu.
Un concept simpliste, mais qui permet d’instaurer un très bon parallèle entre un jeu enfantin et un plaisir qui l’est tout autant : les glaces.

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