Pour honorer la mémoire des manifestants de la Place Tiananmen, Amnesty International Allemagne a fait appel au street artiste A.SignL du collectif Captain Borderline. L’artiste a donc réalisé une fresque ironiquement colorée dans la ville de Cologne reprenant de nombreux items de la pop culture chinoise tous agrégés en forme de tank.
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Corbillard de mariage
La Saint Valentin est généralement signe d’amour, de tendresse et de romantisme. Mais ce n’est pas le cas pour toutes les femmes, certaines subissent ce jour là (comme tous les autres jours de l’année) des abus physiques, sexuels et psychologiques. C’est ce qu’Amnesty International Belgique, conseillé par son agence Air, a voulu mettre en exergue. L’idée, faire déambuler un corbillard associé à différents référent du mariage. Ce véhicule symbolique affichait le message de l’annonceur : « En Belgique, tous les mois des femmes meurent sous les coups de leur compagnon ».
Statue de la Liberté orange
Bien triste célébration qu’est celle des 10 ans d’existence de Guantanamo. La prison américaine entièrement dédiée aux terroristes souffle sa dixième bougie, et l’association Amnesty International France compte bien en profiter pour réclamer sa fermeture. C’est assez logiquement que les militants se sont attaqués au principal symbole américain présent à Paris : la réplique de la Statue de la Liberté. Leur idée : associer ce monument au symbole de l’emprisonnement américain, le orange caractéristique de l’uniforme des détenus.
Travailleurs en boîte
La Corée du Sud compte de nombreux travailleurs immigrants. Ce statut engendre des comportements abusifs de leurs patrons qui bien souvent les considèrent comme des machines oblitérant ainsi toute humanité et bafouant leurs droits.
Afin de faire prendre conscience de cet état de fait aux sud coréens, l’ONG Amnesty International et l’agence supernormalvoice ont imaginé une opération d’ambient marketing. L’idée est de pousser le comportement de certains patrons à son paroxysme en simulant un arrivage par cartons de travailleurs. L’installation est associée à un message « Nous sommes des travailleurs immigrants, pas de simples machines ».