Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Google Maps communique sur son service « Street View » à Amsterdam et à Rotterdam.
Quand on propose un service basée sur la visualisation de rues, quoi de plus naturel que de faire du street marketing.
La société californienne le fait très bien en mettant en scène les outils propres à son service à la fois au sol et sur les abris bus des deux villes hollandaises.

L’exemple type du green washing : une marque de lessive qui se vend en mettant en exergue une valeur écologique.
Ceci dit, on ne peut pas enlever à Tide cette excellente idée d’ambient marketing.
Un sticker thermoréactif est plaqué sur les portes de machines à laver : plus la température monte à l’intérieur, plus le niveau des mers monte.

L’artiste Jon Hicks s’exécute au service de Kellog’s pour booster les ventes de céréales en période hivernale.
Ici, le plus produit est parfaitement mis en scène grâce aux feuilles mortes.
Plus de que l’ambient marketing, on se rapproche du marketing sensoriel, sonore en l’occurrence.

Tonka, fabriquant de jouets bien masculins, reste dans la scénarisation de l’espace de jeu des enfants.
Après une campagne print présentant dans bacs à sable transformés en chantier on ne peut plus réalistes, Hasbro décline ce concept et l’adapte en guérilla.
Une opération opportuniste mais en concordance parfaite avec le positionnement de la marque.

Opération qui n’a rien de très novateur, mais qui rappel qu’un simple élément peut permettre de démultiplier l’impact et la visibilité d’une campagne.
Ici il s’agit de promouvoir Orlen, une enseigne polonaise de café.