Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Denver Water a pour objectif la sensibilisation des citoyens à l’économie d’eau.
Les communications s’adressant aux citoyens sont rarement enthousiasmantes, ce qui est loin d’être le cas ici.
Le traitement de l’information a engendré une piste créative simplement excellente : l’herbe est stupide.
L’idée est donc de prouver que le gazon n’est pas vivant ni intelligent, presque méchant pour pousser les habitants de Denver à cesser de gaspiller de l’eau en l’arrosant.

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Étant un fan inconditionnel de Pixar, je me dois de rédiger un article traitant de la sortie de leur dernier opus : UP.
L’élément principal de ce film, les ballons, est un moyen de communication engendrant énormément de créativité.
On peut donc retrouver ces ballons respectivement sur un abri bus à Toronto, à l’entrée de cinémas (Hollywood et Moscou), sur un Zeppelin à Los Angeles ou San Francisco, au sommet d’une maison (Hollywood, Auckland, Parc Disney), en affichage alternatif à Los Angeles ou même lors d’une événement organisé en Espagne où les passants peuvent tester leur résistance.

Encore une super réalisation de Colenso BBDO. Cette fois c’est pour promouvoir la première de l’émission TV Hitched (casé en français).
L’idée est simple : mettre en scène le futur marié le lendemain de l’enterrement de sa vie de garçon et donc à la vieille de son mariage.
Sur son torse est donc écrit : casé ce soir à 20 heures sur TV3.

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En Australie, les détenteurs du permis moto doivent, durant les 12 premiers mois, affubler leur bolide d’une plaque jaune estampillée de la lettre L (Learner) et sont restreint à un modèle 250cc.
C’est bien entendu très embarrassant pour tout motard qui se respecte, et c’est sur cet embarras que joue Suzuki.
Elle fait appel à un mauvais souvenir pour mettre en avant sa gamme de motos ultra performantes.

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Une opération très heureuse réalisée par Ben&Jerry’s dans les rues de San Francisco.
L’idée est simple mais très efficace : Ben&Jerry’s ramène le bonheur.
La solution trouvée est de jouer sur la nostalgie des passants en recréant un jeu associé à leur enfance.
Dans le cas de la marelle, c’est bien entendu la marque qui est le ciel et donc l’aboutissement du jeu.
Un concept simpliste, mais qui permet d’instaurer un très bon parallèle entre un jeu enfantin et un plaisir qui l’est tout autant : les glaces.

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