Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Il semble y avoir une épidémie bien plus contagieuse que celle de la grippe H1N1.
L’épidémie de l’objet tombé du ciel sur une voiture.
Voici donc un récapitulatif, se voulant être le plus exhaustif possible, reprenant toutes les opération de street marketing utilisant les ballons, balles de tennis, balles de golf et autres balles en fer que j’ai pu débusquer sur le net.
Je compte bien entendu sur votre aide pour récolter d’autres images de ce type de campagnes.

via et via

Le Planétarium de Prague s’est récemment doté d’un nouveau système de projection permettant aux visiteurs une immersion complète dans l’univers.
Pour mettre en avant cette innovation, Euro RSCG Prague a imaginé un détournement de mobilier urbain très intéressant.
L’idée est de recréer le système solaire sur les vitres des portes tournantes de l’entrée du Planétarium afin que les visiteurs aient, dès leur entrée, le sentiment de faire partie de l’univers.

via

Dove signe une une opération d’ambient marketing en parfaite adéquation avec sa campagne pour toutes les beautés.
L’idée est de disposer des balances dans des vestiaires féminins (piscines et établissements de sport).
Intriguées, les femmes se pèsent et découvrent les message : la vraie beauté ne se mesure pas en kilos.
A l’opposé de l’interruption marketing, cette campagne met en avant le message de la marque auprès de consommatrices ouvertes au dialogue.

via

Au Brésil, Kleenex surf sur l’épidémie de grippe H1N1 et met en avant l’utilité de ses mouchoirs.
Le concept mis en place sur les distributeurs de savon est aussi brillant que répugnant.
La marque met simplement en avant une question : « grippé ? »
Je trouve l’idée excellente, mais je ne suis pas persuadé de l’avantage concurrentiel revendiqué par la marque, les autres mouchoirs ne permettent pas de se moucher ?

via

L’objectif de cette campagne était de faire connaître aux habitant de Bucarest le nouveau Lenor aux senteurs fleuries.
L’idée est simple : remplacer tous les pots de présentation des fleuristes de la principale artère de la ville par de bouteilles de Lenor.
Le point de contact est intéressant, le support de communication est inédit, et le bénéfice produit est très brillamment mis en avant.
Si les roumains n’ont rien trouvé à redire à cette opération c’est certainement car ils n’ont pas les même préoccupation environnementales que nous. Je pense qu’en France, mettre des fleurs dans des bouteilles de lessive aurait à la fois conféré une très mauvaise image au fleuriste, mais aurait aussi été très mal accepté par le grand public.

via