Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Misereor est une organisation récoltant de l’argent pour vacciner les habitants des pays du sud.
Pour ce faire, ils lancent une opération de found raising ayant pour support un affichage.
L’idée est simple : les passants introduisent des pièces de 50cts dans une seringue, le nombre de pièces détermine le nombre de vaccinations possibles.
Une opération où le donateur constate instantanément de la répercussion de son geste.
WWF avait déjà brillamment mis en scène des pièces de monnaie ici

Google Maps communique sur son service « Street View » à Amsterdam et à Rotterdam.
Quand on propose un service basée sur la visualisation de rues, quoi de plus naturel que de faire du street marketing.
La société californienne le fait très bien en mettant en scène les outils propres à son service à la fois au sol et sur les abris bus des deux villes hollandaises.

L’artiste Jon Hicks s’exécute au service de Kellog’s pour booster les ventes de céréales en période hivernale.
Ici, le plus produit est parfaitement mis en scène grâce aux feuilles mortes.
Plus de que l’ambient marketing, on se rapproche du marketing sensoriel, sonore en l’occurrence.

En Angleterre, Orange propose tous les vendredi deux places de cinéma pour le prix d’une.
Pour fêter dignement et en fanfare le cinquième anniversaire de ses « Orange Wednesday« , l’opérateur téléphonique met en scène sa vision du cinéma entre amis.

Sticker pour Volcano, Les Dents de le Mer, ou le dernier Indiana Jones ?
Pas du tout, ce marquage n’est présent que pour rappeler aux habitants d’Auckland en Nouvelle Zélande leur manque d’attention.
Les chiffres parlent d’eux-même : 900 piétons accidentés dont 250 morts en cinq années.

Encore faut-il ne pas porter trop d’attention à cette opération au risque de ne pas voir le camion arriver…