Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

En Nouvelle Zélande, les premières grosses pluies après l’été sont toujours celles qui engendrent le plus d’accidents de voiture.
Pour sensibiliser les conducteurs néo-zélandais Colenso BBDO Auckland a imaginé un affichage réagissant à la pluie.
A la façon des statues qui pleurent, c’est un enfant pleurant du sang qui est ici mis en scène.
Opération marquante, pour preuve, aucun accident mortel sur cette route durant la saison humide.

Le Nikon D700 travaille son image de marque en s’affichant dans un centre commercial coréen.
L’opération se compose d’un affichage muni de flashs, de capteurs de mouvements et d’un tapis rouge menant directement à une boutique Nikon.
Résultat, 500 000 personnes flashés par jour et une augmentation significative des ventes de l’appareil photo.

Amnesty International utilise en avant première un système de reconnaissance oculaire.
Sur cet affichage digital, la vidéo de l’homme battant sa femme ne se lance que lorsque les badauds ont le dos tourné.
Si la caméra détecte un regard, le couple redevient prétendument heureux.
Cette opération stigmatise les apparences bien souvent trompeuses.

Une nouvelle bouteille de Coca-Cola très collante. La firme d’Atlanta communique sur le nouveau grip de sa bouteille plastique et pour ce faire, elle exploite une habitude des consommateurs : se reposer contre les abribus.
Coca met également en place une campagne de bannières interactives elles aussi très collantes.

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Pour le lancement de sa nouvelle gamme de bonbons aux fruits, Pascall se met en scène à Auckland.
Cette installation a duré un mois pendant lequel les internautes ont pu parier sur l’heure de l’explosion grâce à un site événementiel When will the fruit burst ?