Art sur arbuste

Afin de promouvoir l’arrivée au canada de sa PlantBottle – une bouteille en plastique partiellement composée de plantes – Dasani, une marque du groupe Coca-Cola Company, a fait appel à un artiste topiaire. De son nom Topiary Joe, cet artiste est mondialement reconnu pour ses sculptures sur arbustes. Il a notamment travaillé pour Walt Disney World ou encore pour le prince de Galles. Cette fois-ci c’est dans le centre de Montréal qu’il expose ses statues topiaires représentant bien entendu une bouteille de Dasani.
Une idée un brin greenwashing, mais en accord parfait avec l’innovation produit.

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Cheval en papier

Pour promouvoir un spectacle, un concert ou encore la sortie d’un nouveau CD, l’affichage sauvage semble de mise. Ce support permet d’informer à moindre coût un public urbain souvent en attente de ce type d’information. Seul problème, mais de taille, quand de nombreuses informations sont disposées dans un même lieu, il est très difficile d’emerger. Cet amoncellement de couleurs et de dates n’attirant plus l’attention des passants, l’agence de publicité spécialisée dans la promotion musicale FOAM a fait appel au français Xavier Barrade pour imaginer un affichage détonnant. L’artiste a donc réalisé ces créations entièrement en papier pour informer de la sortie du nouveau single de Dry The River.
Chaque cheval de papier a nécessité 35 heures de travail. Les affiches ont été disposées dans les quartiers est de Londres.

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Street art pour Levi’s

Pour emphaser sa campagne Go Forth, Levi’s et son agence W+K Amsterdam ont fait appel au street artiste portugais Alexandre Farto – connu sous le pseudonyme Whils – afin d’immortaliser les pionniers berlinois.
L’artiste a donc produit ce qu’il sait le mieux faire : des portraits gigantesques entièrement réalisés au marteau piqueur.
Un résultat surprenant mettant parfaitement en avant les quatre grandes figures sélectionnées : Fadi Saad, Various & Gould, Joe Hatchiban et Sven Marquardt.

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Crachat créatif

Tous ceux qui sont déjà allés en Chine le savent, les chinois ont la fâcheuse habitude de cracher un peu partout. Au delà du simple fait de cracher dans la rue – déjà parfaitement répugnant – ces sécrétions salivaires contiennent de nombreux germes. Pour alerter la population de ce danger, le Public Health Bureau Of Shanghai et son agence Ogilvy Shanghai ont pensé une campagne basée sur un constat simple mais effrayant : un crachat peut répandre des germes jusqu’à 70 mètres à la ronde.
Seul problème, ces germes sont aussi nocifs qu’invisibles, l’agence a donc décidé de les figurer grâce à un graffiti sur le sol réalisé par 51 artistes issus de la rue et d’école de design et de graphisme.
Une très belle réalisation qui permet de rendre visible un mal qui ne l’est pas.

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Laguna anguleuse

Afin de communiquer sur la technologie Renault des quatre roues directrices, l’agence Publicis Paris a imaginé un dispositif alternatif s’appropriant une technique fréquemment utilisée par les street artistes. La technique en question est tout simplement celle du collage urbain, et elle permet à la marque de mettre en scène directement dans la rue l’avantage de son innovation technologique.
Ces quatre roues directrices permettent une meilleure stabilité du véhicule, de meilleures sensations de conduite, mais surtout elles réduisent l’angle de braquage de la nouvelle Renault Laguma. C’est ce point qui est illustré au moyen de collages disposés sur des angles de rues. Le message permet de faire le lien avec la campagne : « Nouvelle Renault Laguna, quatre roues directrices pour un angle de braquage plus court ».

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