Paperplane Street, ambient, guérilla marketing and out of home

Voici une campagne imaginée par l’agence Big Ant qui n’est pas forcément récente, mais qui est passée plus ou moins inaperçue.
L’annonceur est ici une clinique de chirurgie esthétique hébergée au troisième étage d’un bâtiment.
L’objectif est tout simplement de faire connaître cette clinique à tous les visiteurs du bâtiment.
L’idée est simple mais brillante : reprendre la fresque « La Création d’Adam » de Michel Ange et utiliser le bouton d’appel de l’ascenseur comme point de contact entre Dieu et le visiteur.
La marque promet : Be born again.

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Super opération que l’on peut assimiler à de l’ambush marketing. Ici l’événement dont la campagne profite serait la crise financière.
En effet, en Nouvelle Zélande, certains chantiers ont été abandonnés en attend de la reprise.
Ainsi, pour annoncer l’arrivée de la saison 2 de True Blood sur la chaîne Prime, DraftFCB Auckland a profité d’un chantier fermé et a justifié cette fermeture : En attente, tanière de vampire découverte.
Pour la sortie de la série aux Etats-Unis un dispositif encore plus créatif avait été imaginé.

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L’objectif de cette campagne était d’augmenter le nombre de prescription de Folliderm, un produit qui prévient la chute des cheveux.
Ce sont les ascenseurs de certaines entreprises et résidences qui se transforment en point de contact avec la cible.
Le message est simple : Vous avec peur de perdre vos cheveux ? Demander à votre docteur de vous parler de l’efficacité de 4+1 (nom du produit).
Après être devenu le principal sujet de conversation dans les ascenseurs, le produit a vu ses ventes augmenter significativement dans les zones où les stickers furent placés.

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Fernet, est un alcool à base de plante d’origine italienne. Pour son lancement en Argentine, la boisson associe son image à celle d’une idole locale.
L’actrice Isabel Sarli, surnommée Coca Sarli, est la Brigitte Bardot argentine. Elle est le symbole du cinéma argentin des années 50, 60 et 70.
Elle représente parfaitement l’ancienneté et l’ancrage culturel que la marque désire obtenir.
C’est donc tout un bataillon de répliques en papier de Coca Sarli qui ont envahi le principal parc de Buenos Aires.
Une très belle opération utilisant une référence culturelle pour ancrer la marque dans les esprit dès son lancement. De plus, cette boisson est bien souvent associée à du Coca Cola, le nom même de l’égérie fait appel à ce cocktail.

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Alors que le monde est en plein marasme financier, un groupe de Denver a voulu mettre en avant les arts quotidiens.
Pour faire prendre conscience aux citoyens que toutes les formes d’arts dans une ville ont un coût d’entretien, toutes les oeuvres de Denver furent recouvertes de plastique noir et enveloppées de ruban adhésif jaune.
Le seul texte apparent est inscrit à la bombe à peinture et réfère vers un site internet dédié à l’action : art for ransom.
Le site permet aux visiteurs de payer certains rançons mais surtout d’en apprendre d’avantage sur la façon ont ils peuvent s’impliquer.

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